lundi 18 décembre 2006

Dans un futur très rapproché VI

Suite et fin de mes fabulations perverses. Enjoy.

-That was… so incredible…
-No. You were incredible, even more than what I remembered. You were on fire. It was so good, and so powerful… I have never felt anything like this and never will.

-Tu exagères.
-Non.
J’ai ouvert les yeux et j’ai vu qu’il était tout à fait sérieux. Je n’ai pas pu m’empêcher de rougir de voir à quel point le désir dans ses yeux était toujours aussi intense, même après tous les efforts que nous venions de déployer.
-Oui bien, mon feu est maintenant éteint.
-Je n’en crois rien.
-Je te dis que si. My whole body is numb. Tu pourrais abuser de moi maintenant et je serais incapable de te résister.
-Let’s try it, shall we?
-Quoi…?


Lorsque je l’ai vu bouger, j’ai cru qu’il allait simplement se rapprocher de moi pour me serrer dans ses bras et que nos ébats recommenceraient après que nous nous soyons reposés un peu. Quand j’ai vu qu’il se relevait et qu’il allait se placer derrière moi, j’ai compris à quel point j’avais tord. J’avais satisfait cette envie de lui qui s’était accumulée en moi depuis des mois, mais Nakago lui, était loin d’en avoir fini avec moi. Je ne pensais pas que mon corps survivrait à cet assaut, alors j’ai vainement essayé de le dissuader de continuer.
-Nakago, je t’en prie. Je n’ai plus aucune force.
-Ce n’est pas grave. Moi j’en ai pour deux.
-Mais on pourrait attendre un peu…
-Non, maintenant. Je te veux maintenant.

J’était toujours couchée, alors il a simplement écarté mes jambes pour pouvoir être placé directement derrière moi et en me saisissant par les hanches, il m’a attirée vers lui. Avant que j’ais pu protester à nouveau, il m’a prise dans cette position. Ses mains se tenant après mes fesses, il s’acharnait en moi. C’était comme s’il était totalement hors de contrôle. Pas que je m’en plaigne (car j’en avais envie, c’est certain), mais je n’avais plus du tout la force de lui résister. Je ne pouvais donc que le laisser faire. Même si j’avais voulu tenter de le convaincre à nouveau d’arrêter, je n’aurais pas pu, car à chaque fois que j’ouvrais la bouche, c’était pour crier, un peu plus longtemps et un peu plus fort à chaque fois. Mes doigts étaient agrippés aux draps si serré, que mes jointures en étaient devenues blanches. J’ai enfoui ma tête dans l’oreiller, pour m’empêcher de crier, tellement ce que j’éprouvais, ou plutôt ce que mon corps ressentait était trop fort.
-Huh?
Nakago m’avait arraché l’oreiller et l’avait balancé plus loin dans la pièce.
-I don’t want you to hide your face. I want you to come, again and again and again.
-Nakago, please. You’re torturing me.


Au lieu de me répondre, il a plutôt arrêté de bouger. Une de ses mains a quitté mes fesses pour aller me caresser entre les cuisses. C’était toujours très sensible alors j’ai aussitôt crié. .Mais ça ne semblait pas le satisfaire. Toujours immobile, il a intensifié ses caresses jusqu’à ce que mon corps en entier soit parcouru de tremblements et que ma tête finisse par retomber d’épuisement sur le matelas. J’ai à peine eu le temps de reprendre mon souffle qu’il avait recommencé à bouger. Je ne pensais pas qu’il pouvait se montrer encore plus affamé, mais pourtant si : ses mouvements étaient encore plus rapides et profonds qu’ils ne l’étaient tout à l’heure. Mon corps ne m’appartenait plus, car je ne faisais que réagir à ce qu’il me faisait subir. J’étais sienne jusque dans les moindres détails.
-So, do you enjoy it?
-Yes…
-I didn’t hear you.
Il m’a de nouveau touchée entre mes cuisses et j’ai aussitôt crié.
-Aaaah!
-So, is it good?
-Yes.
-Louder.
Il a légèrement accentué ses caresses, juste assez pour que je crie un peu plus.
-Aaaah! Yes! Yes!
-Good.

Il a continué à se mouvoir, semblant déterminé à prolonger ma «torture» jusqu’à ce que je meure d’épuisement. Nakago, c’est si bon, mais je t’en prie, arrête. Je n’en peux plus. Mes supplications, silencieuses ou pas, n’avaient pas d’effet sur lui. Je sentais venir mon deuxième orgasme et j’espérais presque que ce soit ensuite la fin, car je sentais vraiment que mon corps allait tomber raide mort de fatigue.
-Aaah… Nakago… Aaaah!
-Aaaah!
Le corps endolori, ma tête est retombée d’elle-même sur le lit pendant que je fermais mes yeux.

Black out.

Une éternité plus tard, les sensations ont commencé à revenir et j’ai été capable, très lentement, de soulever mes paupières : j’étais dans les bras de Nakago, bien au chaud sous les couvertures.
-Lilianna, tu es réveillée?
-Si par réveillée tu entends le fait que je sois capable de bouger mes lèvres pour articuler quelques mots, alors oui, je suis réveillée. Autrement, tout le reste de mon corps me fait mal.
-Est-ce que ça va aller?
-… Je me suis évanouie. Je n’arrive pas à croire que je me sois évanouie. Ça ne m’était jamais arrivé avant.
-Je suis désolé. C’était comme si je n’étais plus moi-même. Comme si…
-Comme si ta vie dépendait du fait qu’il fallait absolument que tu satisfasses ce désir que tu n’arrivais plus à contenir?
-Oui, exactement.
-Don’t be sorry, I know the feeling. Besides, it’s just going to give me a litte more challenge for next time…
Nakago a éclaté de rire.
-You’re amazing, you know that?
-So are you.
-…I have a confession to make… Last night, when you went back to bed, I… I was only pretending to sleep.
-… Why?
-I was scared that you would be gone by morning, that it would be the very last time that I wouls ever hold you in my arms. I’m so glad that you decided to stay. I’m never going to let you go now.
- I’m not planning on going anywhere anyway.
-Good. I love you Lili.
-I love you too Nakago.
La tête dans le creux de son épaule, comblée, mais surtout épuisée comme je ne l’avais jamais été, j’ai fini par m’endormir. Je ressentais un petit malaise, mais je savais qu’il finirait par s’atténuer avec le temps, parce que ma place était ici, avec lui, elle l’avait toujours été.

FIN

3 commentaires:

Quentin a dit...

SALOPE!!!!!!!

Pauvre Talis! MUUUUUUU!

J'espere que cas se pasera pas comme ca. Parce que Juju... TK! LOL

Anima a dit...

HAAA espèce de dévergondée!!

Lyra a dit...

Bouhahaha! Evil moi!

Et en passant, c'est pas dévergondée, c'est perverse finie!