vendredi 22 juin 2007

La première fois...

Il était plus que temps: j'étais vraiment due pour écrire un truc pervers. Bouhahaha!

La première fois qu’il s’est «essayé», ça a été la panique totale. Dès qu’il s’est étendu sur moi, mon cœur a commencé à battre la chamade.
-Non, arrête! Je t’en prie, arrête!
J’ai commencé à trembler de toutes parts et je me suis mise à pleurer.
-Lilianna…
-Je suis désolée, je suis désolée…
-Ne sois pas désolée, ce n’est pas ta faute.
-Je suis désolée…
Je n’arrêtais pas de m’excuser. Il avait beau dire le contraire, je me sentais responsable de ce qui s’était passé. Comme par le passé, il m’a serrée contre lui jusqu’à ce que j’arrête de pleurer.
-Je suis désolée.
-Pourquoi t’excuses-tu?
-J’ai envie de faire l’amour avec toi, j’en ai vraiment envie, mais je ne peux pas. Je n’arrête pas de revoir dans ma tête ce qui s’est passé et je…
-C’est pour ça que tu t’excuses?
-Et bien… je ne peux pas te donner ce que tu veux et… ça doit être frustrant pour toi…
-Non. Ce qui est frustrant, c’est de te voir souffrir chaque jour et d’avoir l’impression de ne pouvoir rien faire pour t’aider.
-Alors tu ne m’en veux pas de ne pas pouvoir…?
-Tu assumes encore, là.
-Désolée.
-Jamais je ne t’en voudrai pour ça, Lili. J’adore te faire l’amour, plus qu’adorer en fait…
Il m’a dit ça avec un regard si perçant que je me suis sentie rougir. Il est trop bon, il n’a qu’à me regarder et je rougis aussitôt.
-…mais ce n’est pas ce qui est le plus important. Tout ce qui compte, c’est que tu ailles mieux. Je comprends que tu aie besoin de temps, alors ne t’en fais pas. Nous ferons l’amour quand tu seras prête et pas avant. I’m a very patient man, so take all the time you need.
-Are you sure you’re going to be able to satisfy yourself with only cuddling?
-Cuddling is more than what we had for almost a year, so yes, I’m ok with it. Besides, being with you is all that I need to be happy.
-You’re too wonderful, you know that?
-You told me a few times, so I’m beginning to get used to the idea.
-…
Je ne sais pas ce que j’ai fait pour te mériter, mais je suis tellement contente de t’avoir dans ma vie. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
-Est-ce que tu préfères rester seule ou tu te sens assez mieux pour que je reste avec toi?
-…Tu partirais si je te le demandais?
-…Oui. Je veux que tu te sentes bien, c’est tout ce qui compte pour moi.
Je voyais quand même dans ses yeux qu’il espérait que je lui dise le contraire. Je t’en prie, ne me demande pas de partir, me disait son regard. Je veux rester avec toi.
-Ne t’inquiète pas, lui aie-je répondu. Je sais qu’après ma réaction ce que je vais dire est un peu contradictoire, mais je ne désire rien de plus que de m’endormir dans tes bras. Jamais je en me suis sentie aussi bien et autant en sécurité que lorsque j’étais avec toi.
-Je suis heureux de l’entendre.
Nakago s’est ensuite étendu à côté de moi et je me suis collée contre lui. I wish I could go to sleep every night like this. Très délicatement, comme s’il craignait que j’aie une autre attaque de panique, il m’a entourée de ses bras pour me rapprocher de lui un peu plus.

Toutes les nuits suivantes se sont passées ainsi : nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre sans qu’il ne se passe quoi que ce soit. Nakago ne prenait plus vraiment d’initiative. Il s’est montré un peu entreprenant quelques fois, mais j’ai eu d’autres attaques de panique. Il a fini par arrêter, me disant qu’il attendrait que je fasse le premier pas. Je voyais qu’il était déçu, mais il n’en a jamais rien dit. Comme toujours, il faisait passer son bonheur avant le mien. Le temps a donc passé jusqu’au jour où j’ai senti que j’étais finalement prête. J’avais toujours un peu peur quand je sortais (À chaque fois qu’un homme me regardait, je craignait qu’il ne me saute dessus.), mais je ne ressentais plus la moindre onde de panique quand Nakago m’embrassait ou me tenait dans ses bras.

Ce soir, alors qu’il arrangeait le lit pour que nous allions nous coucher, je me suis approchée par derrière et je me suis collée contre lui.
-Make love to me, lui aie-je murmuré.
Il a arrêté de bouger et s’est retourner vers moi.
-Are you sure…?
J’étais certaine, mais je tremblais quand même un peu.
-We don’t have to do it if you’re not totally ready, m’a-t-il dit.
-…No, I’m sick of waiting.
-Why are you trembling then?
-I’m scared… I’m scared I’m going to forget what it feels like to be with you, to touch you, to be touched by you… I don’t want to forget. I want to make love to you, I want to feel complete again.

Sans dire un mot, il s’est penché vers moi et le plus doucement du monde, il m’a embrassée. Il savait que j’avais besoin de temps et a donc tout fait pour ne pas me brusquer. Il a pris tout son temps, guettant mes réactions. Les premières fois que ses lèvres ont touché les miennes, je me suis contentée de le laisser faire. Je ne voulais pas me laisser aller trop rapidement, car je craignais de paniquer comme les autres fois. Je savais que Nakago ne m’en voulait pas de m’être refusée à lui. Il comprenait que c’était seulement à cause du traumatisme de mon attaque que je bloquais. Moi, je détestais ma réaction. J’étais avec l’homme que j’aime et tout ce que je voulais, c’était de m’étendre dans un lit avec lui et faire l’amour toute la nuit. Pourtant jusqu’à présent, j’en étais incapable.
-Tu réfléchis trop, encore une fois, m’a-t-il murmuré entre deux baisers.
-Désolée…
-…Je te le redemande : es-tu certaine que tu es prête pour…?
Il ne faut pas que je réfléchisse à une réponse, sinon je risque de paniquer encore. Il faut que je me lance. J’ai passé mes deux bras autour de son cou et je me suis rapprochée de lui.
-Oui, je suis sûre…

J’ai levé ma tête vers lui et je l’ai embrassé. Dès que mes lèvres ont touché les siennes, je l’ai senti répondre à mon baiser. J’avais beau avoir fait le premier pas, je n’osais pas en faire plus, je ne savais plus quoi faire. J’avais eu peur pendant tellement longtemps, que c’était comme si j’avais oublié ce qu’il fallait faire. Je me sentais comme une vierge qui était sur le point de faire l’amour pour la première fois. Heureusement pour moi, dans ce domaine, Nakago lisait dans mes pensées autant que je lisais dans les siennes. Il savait qu’il devait y aller lentement, autrement je prendrais peur encore. Il répondait donc à mon baiser, mais avec moins de fougue que d’habitude. Je sentais la passion dans ses gestes, mais il se retenait par égard pour moi. Je t’aime tellement, si tu savais…
-Je t’aime aussi, m’a-t-il murmuré entre deux baisers.
-Je n’ai rien dit.
-I guess I can read your mind then.
-Si tu peux lire dans mes pensées, tu dois alors savoir que j’ai envie que tu continues de m’embrasser… et pas juste sur les lèvres…
(Oh my god, I can’t believe I said that.)

J’ai baissé les yeux et je me suis sentie rougir comme si c’était la première fois que je lui faisais une proposition indécente. C’était pourtant loin d’être la première fois et je me sentais très gênée. Je pensais juste à mon cou, mais si lui pensait à une autre partie de mon anatomie? S’il pensait que j’étais juste une perverse finie? Et s’il…?
-Stop worrying so much, m’a-t-il chuchoté à l’oreille.
Avant que je ne me remette à me torturer l’esprit, il a commencé à me mordiller l’oreille. Je n’ai pas pu m’empêcher de soupirer de plaisir. Oui, c’est exactement ce que je voulais.
-Comment fais-tu… aah… Comment fais-tu pour toujours savoir exactement ce qu’il faut faire pour que j’aie du plaisir?
-Je connais ton corps par cœur, m’a-t-il répondu tandis que ses lèvres descendaient le long de mon cou, et aussi ton cœur. We’re soulmates, that’s why we’re so good together. Don’t you agree?
-…No…
-Wh…?
-We’re not good together, l’aie-je interrompu, we’re great. We always have been and always will be.
-Yes we are, we are…


Il a continué à m’embrasser dans le cou en y allant cette fois-ci légèrement plus fort, pour mon plus grand plaisir. Je me suis accrochée à lui et j’ai penchée la tête par en arrière pour lui faciliter la tâche. Il était rendu à la base de mon cou, puis a remonté le long de ma gorge…
-Oh, Nakago…
-Lili…
Quand sa tête s’est retrouvée au même niveau que la mienne, je n’ai pas attendu qu’il m’embrasse : j’ai passé mes bras autour de son cou et j’ai pris les devants. Nakago m’a aussitôt enlacée et serrée étroitement contre lui. Je sentais à quel point il me voulait, je le sentais devenir un peu plus empressé, mais cette fois, ça ne me faisait plus peur. Yes, I’m finally ready. Il a commencé à me caresser le dos, promenant ses doigts tout doucement sur ma peau, juste assez pour me faire frissonner. Il a ensuite utilisé ses deux mains pour refaire la même chose, mais en y allant un peu plus fort. Il ne voulait pas me brusquer, alors il procédait étape par étape.
-Veux-tu que je continue plus bas? m’a-t-il demandé, alors que ses mains étaient rendues à ma taille.
-Oui…
Il a donc commencé à me caresser les fesses puis a fini par les empoigner à pleines mains pour me rapprocher encore plus de lui. Ma chemise de nuit était bien mince et je sentais aisément à quel point il me désirait. Comme toujours, ça m’enivrait de le sentir excité à cause de moi, de sentir que tout son désir était dirigé vers moi.
-Tu sais que je te veux, n’est-ce pas? m’a-t-il demandé en me fixant droit dans les yeux.
-Oh oui…
-Reste maintenant à savoir si tu me désires autant que j’ai envie de toi…
-Tu sais bien que oui.
-Si ça ne te déranges pas, je préfères m’en assurer par moi-même.
-Qu’est-ce que tu as en tête?
-…

Il ne m’a pas répondu et a continué à me fixer du regard. Au moment où j’allais lui demander encore ce qu’il voulait faire, j’ai senti que ses mains faisaient remonter ma robe de nuit le long de mes jambes. Plus je sentais ma peau exposée à sa vue, et plus j’étais nerveuse, mais aussi excitée. J’avais très envie qu’il me caresse, qu’il me fasse crier. Sans me quitter des yeux, il a remonté le tissu jusqu’à mes hanches. Il a laissé une de ses mains sur mes fesses et a déplacé l’autre jusqu’à mes hanches puis à mon ventre. Lentement, très lentement, il est descendu…
-Aaah…
-Oui, je pense que tu es prête, m’a-t-il dit quand sa main a atteint l’intérieur de mes cuisses. Ou peut-être pas tout a fait…
-Nakago… Aaah!
Il avait cessé de simplement me caresser et avait introduit deux doigts en moi, qu’il bougeait comme s’il était en train de me pénétrer. Je me suis accrochée à lui, car plus mon désir montait et plus je me sentais faiblir. Je ne pourrai plus tenir bien longtemps… À ce rythme, j’allais bientôt succomber.

Nakago avait d’autres plans en tête et il a arrêté de me caresser.
-Why are you stopping? lui aie-je demandé.
-I wouldn’t want you to come to fast. I’ve got other plans…
-Like…?
-…You’ll see soon enough…

Avant que je ne lui pose d’autres questions, il m’a prise dans ses bras et m’a déposée sur le lit. Il a pris les couvertures et m’en a recouverte. Je ne comprenais pas pourquoi il ne s’allongeait pas tout de suite à mes côtés, mais je n’ai rien dit. Il devait forcément avoir une bonne raison. Tout en restant dans mon champ de vision, il s’est reculé et a commencé à se déshabiller. J’étais un peu perplexe : j’aurais très bien pu le faire moi-même. Quoique… Ça m’aurait sans doute pris une éternité tellement j’étais nerveuse. C’est probablement pour ça qu’il se déshabillait lui-même… Et aussi pour faire augmenter mon plaisir. Il savait à quel point j’aimais le regarder. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire.
-What? m’a-t-il demandé en me voyant sourire.
-I guess some things never change.
-What do you mean?
-You know what I mean: you still love to play with me so much.
-Of course I do. But you’re not complaining are you?
-Of course not, I love watching you.
-I know…

Très tranquillement, il a fini d’enlever sa chemise. Il a continué de me fixer tandis qu’il détachait son pantalon. Quand il fut complètement nu, je me suis sentie rougir.
-Why are you blushing? m’a-t-il demandé en se rapprochant du lit.
-I was just thinking how lucky I was to have the most gorgeous man of all in my life.
-And in your bed
, m’a-t-il murmuré en se glissant sous les draps.
J’ai voulu m’éloigner pour lui permettre de se coucher à mes côtés, mais il ne m’a pas laissée faire. Il m’a maintenue contre le lit et s’est allongé sur moi. Il s’est positionné de façon à ce que sa tête soit à la même hauteur que la mienne et tout en me regardant, j’ai senti qu’il faisait remonter ma chemise de nuit. Quand le tissu est arrivé sous ma poitrine, j’ai levé les bras pour qu’il le fasse passer par-dessus ma tête. C’est ce que je voulais, mais quand je me suis retrouvée nue, j’ai eu le réflexe de me couvrir les seins avec mes mains.
-Why are you hiding yourself?
-…I’m embarrassed.
-Why? It’s not the first time that I’ve seen you naked.
-…Well I feel like it’s our first time… my first time.


J’ai baissé les yeux, car je me sentais un peu gênée de lui avouer ça. Je craignais qu’il me trouve idiote.
-You’re right, a-t-il approuvé. It’s like a first time, a new beginning, for the two of us.
-But I’m…
-Don’t be ashamed of your body, you have no reason to be. You are absolutely gorgeous and nothing will ever be able to change that.

-…I love you.
-I love you too.

Il a relevé ma tête vers lui.
-Don’t look away, there’s nothing to be afraid of.
Délicatement, il a enlevé mes mains de sur ma poitrine.
-J’avais raison, m’a-t-il dit en faisant doucement descendre une de ses mains de mon cou à mes seins, tu es tout à fait magnifique.
-Tu n’arrêtes pas de me le dire, alors je vais commencer à y croire.
-Je n’en demande pas mieux.
Quand il a commencé à me caresser, j’ai eu l’impression de frissonner de la tête aux pieds. Dès que ses mains sont sur moi, j’en perds tous mes moyens.
-I can’t get enough of you, you know that? lui aie-je demandé, entre deux soupirs.
-I know, and I feel the same way.
-Je t’en prie, embrasse-moi, l’aie-je supplié.

Il ne s’est pas fait prier et il s’est emparé de ma bouche. Ce baiser était beaucoup plus passionné que les premiers que nous avions échangés, car nous étions maintenant tous les deux prêts à passer à l’étape suivante. Autre preuve que nous étions parfaits l’un pour l’autre : sans que j’aie eu à lui dire que c’était ce que je voulais, ses mains ont commencé à se promener sur mon corps avec beaucoup d’intensité. Il voulait me donner du plaisir autant qu’à lui et ça marchait. Je n’étais pas encore rendue au point de crier, mais je soupirais et je gémissais ça c’est certain. Ça ne semblait pourtant pas le satisfaire complètement.
-Don’t try so hard to restrain yourself, m’a-t-il dit.
-Why…?
-It only makes me want even more to make you scream.
-…And how do plan to do that?
-…I’ll show you…


Lentement, il s’est rapproché de moi avec l’intention évidente de m’embrasser et juste avant que nos lèvres ne se touchent, il m’a pénétrée. J’avais appréhendé cet instant, car même si mon corps ne portait plus aucune cicatrice de mon attaque, j’avais peur d’avoir mal. J’ai craint et attendu la douleur, mais elle n’est jamais arrivée. Pas la moindre trace de souffrance. Juste un état intense d’euphorie et beaucoup, beaucoup de plaisir. Je n’ai pas été la seule à éprouver quelques doutes, car pendant quelques instants, Nakago est resté immobile au-dessus de moi à me regarder. Je savais très bien ce qui lui passait par la tête : il voulait être certain que je n’avais pas mal avant de continuer. Je savais qu’il arrêterait tout maintenant si je lui donnais le moindre signe d’inconfort. Arrêter tout? Pas question.
-Do you really think that I would ask you to stop now? lui aie-je demandé en passant mes bras autour de son cou.
-I was hoping not.
-Good, cause that’s not happening. Now, kiss me please.
-Your wish is my command…


Il m’a embrassée et a commencé à se mouvoir en moi. Si j’avais encore éprouvé de le peur, elle aurait disparu en cet instant c’est certain, car tout n’était que passion. Il bougeait en moi et je m’accrochais désespérément à lui. Comme toutes nos autres fois précédentes, c’était tellement bon que j’en oubliais le reste du monde. L’attente avait été longue, mais elle en avait valu la peine. Je m’abandonnais totalement à lui sans aucune inhibition.
-You said you wanted to make me scream, right? lui aie-je demandé.
-Yeah…
-Do it. I want to scream for you.
-Now you’re talking…

Il a saisi une de mes jambes au niveau de la cuisse et l’a relevée pour pouvoir s’enfoncer en moi plus profondément.
-Aaaah!

Tout était si parfait : nos corps bougeant en harmonie et s’accrochant l’un à l’autre comme si nos vies en dépendaient, la chaleur qui s’en dégageait, nos souffles se mêlant… Je me sentais si heureuse en ce moment, si complète, que ça en faisait presque mal. Sans pouvoir m’en empêcher, j’ai senti des larmes couler au coin de mes yeux.
-Why are you crying? Are you…?
-No, I’m happy. You have no idea how happy I am right now and it’s all thanks to you. I love you so much and I don’t ever want to stop feeling that way.
-You won’t, I promise. I love you Lili.
-I love you too.
Nous avons ensuite atteint l’orgasme et Nakago s’est laissé tombé sur moi. Je sentais son souffle dans mon cou ralentir tandis que les battements de son cœur revenaient à la normale. Mes bras et mes jambes entouraient toujours le corps de Nakago. Je me sentais si bien que je n’avais aucune intention de bouger.
-Are you going to stay like this forever? m’a-t-il demandé d’un ton un peu moqueur.
-Probably. I just feel so good right now that I don’t want to let you go.
-Come here.
-Whoa!


Nakago a roulé sur le côté et m’a attirée vers lui. Avant que je ne «proteste», il m’a entourée de ses bras et m’a maintenue contre lui.
-There, that’s better, m’a-t-il dit.
-Qu’est-ce que notre position change?
-Absolument rien, mais j’adore te serrer dans mes bras. Et j’aime encore plus m’endormir et sentir ton corps contre le mien, ta tête contre mon épaule.
-Si ça peut te faire plaisir alors…
J’ai entouré sa taille de mes bras et je me suis collée le plus possible contre lui.
-I feel so good, so safe, right now, lui aie-je murmuré.
-Me too.
-It’s like nothing can get to us.
-Well I hope no one is going to try to attack us, because frankly, in our state, I don’t think we would win…
-Probably not…


J’ai fermé mes yeux et je me suis endormie. Pour la première fois depuis une éternité, je n’ai pas fait de cauchemars cette nuit-là. J’ai fait quelques rêves, mais ils n’avaient rien de cauchemars, bien au contraire… Hé, hé, hé… Quand je me suis réveillée le lendemain matin, Nakago n’était pas à mes côtés dans le lit. Il est probablement parti nous chercher à manger. Comme de fait, il est arrivé dans la chambre quelques instants plus tard avec un plateau rempli de tout ce que je préférais au déjeuner. He just too perfect.
-Morning gorgeous, m’a-t-il saluée en voyant que j’étais réveillée.
-Morning handsome.
-Tu as passé une bonne nuit…?
-Oui… J’ai même passé une excellente nuit…
-Moi aussi… Je ne savais pas ce dont tu aurais envie, alors j’ai pris un peu de tout.
À vrai dire, mon ventre gargouillait, mais…
-Non, je n’ai pas très envie de déjeuner, lui aie-je répondu en essayant de ne pas avoir l’air dans mon assiette.
-Ça ne va pas? Tu n’as pas faim? s’est-il inquiété.
-Si, j’ai faim, mais pas pour déjeuner, lui aie-je répondu d’un ton plein de sous-entendus.
-Oh, je vois… Et… de quoi aurais-tu envie…?
Je lui ai fait signe avec mon doigt de s’approcher du lit.
-Viens me rejoindre dans le lit et je te promets de te le montrer…
-Si ça peut te faire plaisir…
Sans se faire prier, il m’a rejoint sous les draps et… pour le reste, laissez aller votre imagination…

4 commentaires:

Quentin a dit...

PERVERSE!!!!!!! lol

Mais p-e qu'il t'utilise depuis le début, tsé! Alors ca, ca n'aura jamais lieux. hihi

Une traitresse comme toi ne mérite pas un homme aussi gentil et attentionné! NAH!

Lyra a dit...

Fucke you! Il ne m'utilise pas et ça va vraiment arriver!!

Anima a dit...

héhéhéhéhé des trucs perverts!

et puis si ca va arriver, ben ca va dépendre de ma magnanimité héhé

Chu quand même une DM pas fine lol

Lyra a dit...

Muuuu!!! Vous êtes donc ben méchantes avec moi!!!